c’était à La Java, 12 janvier 2011
Flux et reflux du flux radio.
Irruptions en vrai de l’artiste invité.
Interventions du public avec la possibilité de proposer
un titre de musique diffusé au cours de la soirée.
Prompteur vidéo pour les crédits.
ALEXANDRE BELLENGER et AVRIL WIPAGO, en live, et ceux qui ont apporté et disque (ou envoyé un fichier) :
EMMANUEL MIEVILLE :
EMMANUEL MIEVILLE : l’écran de sang
FRED MARTY /
FRED MARTY : Emprunte
DOM GARCIA /
WILLIAM BURROUGH + GUS VAN SANT : Million of images
J.Y COULLIOUX /
J.Y COULLIOUX : In and out
GEOFFROY MONTEL /
SEBASTIEN ROUX – VINCENT EPPLAY : Concatenative Mu
MICHEL TITIN SCHNEIDER /
MICHEL TITIN SCHNEIDER : London 1948, pour piano réel
TRISTAN RANX /
BRIGITTE FONTAINE : L’auberge
GLOOMYTHO /
GLOOMYTHO : Piano ma non troppo
SALIMA ESSA /
MESSER CHUPS : Good Night
NADIR BABOURI /
NADIR BABOURI : à réalité montante
OrBT /
OrBT : Chandrayaan
AKI ONDA /
AKI ONDA : Dream
DAVE SOLDIER /
DAVE SOLDIER : Water Music
JOACHIM PERCEVAL ENGUERAN DE LA MOLLE /
JOACHIM PERCEVAL ENGUERAN DE LA MOLLE : Le Messie
CHARLES AMIRKHANIAN /
CHARLES AMIRKHANIAN : Mushrooms (for John Cage)
AKE PARMERUD
AKE PARMERUD : Les objets obscurs
ANDREAS AMMER /
ANDREAS AMMER : Crashing Aeroplanes (extraits)
ANNA KINTER /
TWEEDLE DEE : cactus Pryor
JEAN-ERIC MENEZES /
THE DROPPER : Mon morceau 9
DOMINIQUE BALAY / WEBSYNRADIO
JOHNY CASH : i see a darkness
Enfin dehors ! Alexandre Bellenger et Avril Wipago from Enfin dehors !.
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La prochaine rencontre
ENFIN DEHORS !
#2
Soirée pour sortir de la réserve
Une situation de jeu proposée par
…Eric Périer et Laurent Chambert
Après Alexandre Bellenger, l’invitée de la Seconde soirée est :
TRAMI N’GUYEN
http://www.trami-nguyen.com/
Interviendront également Margot Dorléans (danse) et Rémi Durupt (percussions)
» Pour reprendre Federico Ferrari qui reprenait lui-même l’expression de F. Bacon, il s’agit d’une recherche de « traces de présence humaine ». Et… au sens plus large, une polyphonie temporelle sur différents niveaux, de matière, de traitement, notamment. Ainsi, G. Grisey parlait du temps des baleines, des oiseaux ou des hommes. Aussi espérons-nous ouvrir une légère fluctuation des percepts et affects, pour reprendre souffle et trouver cette fameuse « trace humaine », une présence à soi, ou une forme de concentration réactive et afin que le temps _jouet de notre intervention_ varie d’aspect à l’extérieur et à l’intérieur de ces cadres, en un tremblement délicat : ce tout devenant creuset d’une possible liberté. » TN’Guyen
MERCREDI 19 JANVIER 2011
105 Rue du Faubourg du temple, Paris 10e, (La Java)